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29 avril 2009

Contre le Service Minimum: Signez la pétition

Les communes de Saint Capraise de Lalinde et de Lanquais se sont vues assignées au tribunal administratif par Madame le Préfet de la Dordogne au motif de leur refus d’organiser le « service minimum » d’accueil des enfants scolarisés en maternelle et en primaire les jours de grève d’enseignants.

Cette décision se révèle symptomatique de l’état d’esprit “jusqu’au boutiste” du gouvernement et du Président. L’objectif premier réside dans la minimisation à l’extrême des effets de la grève sur les citoyens, afin d’en démontrer par la suite l’inefficacité.

Plus grave encore qu’une volonté politique de négation des libertés publiques, est l’absence du sens des responsabilités quant à l’application de ce dispositif. Un délai de mise en oeuvre trop court pour permettre une réactivité des communes, des personnels non formés dont ce n’est pas la mission auquel on transfert la responsabilité de l’encadrement de jeunes enfants, sans taux minimum d’encadrement obligatoire.

Sous couvert du respect du principe de légalité, d’ailleurs mis en oeuvre de manière inéquitable en la matière selon les régions de France, l’Etat cherche ainsi par tous les moyens à se défosser et à imposer aux communes la responsabilité de pallier les conséquences des conflits qu’il aurait déclenché avec l’Education nationale.

C’est pourquoi, solidaire avec le communes de Saint Capraise de Lalinde et de Lanquais, le Mouvement des Jeunes Socialistes de Dordogne vous invite à signer la pétition de soutien sur : http://www.lavoixdejacquou.fr/spip.php?article207

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23 avril 2009

Projet de Loi Pénitentiaire, sinistre héritage de Rachida DATI

“La prison c’est la privation de la liberté d’aller et de venir et rien d’autre” Ou comment Valéry Giscard d’Estaing met en mots l’utopie pénitentiaire.

Nulle démonstration d’empathie ou marque d’une ouverture quelconque aux centristes d’hier et d’aujourd’hui. Mais l’affirmation de l’ancien Président de la République fait tristement écho aux carences de la Garde des Sceaux dans sa gestion du milieu carcéral.

Prison pour tous

Il est indéniable que se faire le chantre du bien-être des détenus n’attire pas la bienveillance de nos pairs. A fortiori, lorsque le pays tout entier demeure suspendu aux soubresauts d’une crise nationale et internationale.

Il n’est pourtant pas vain de rappeler que la question de l’état des prisons françaises n’est pas l’apanage des seules familles de reclus.

Côtoyer le milieu carcéral peut souvent relever de l’incident de parcours auquel chacun peut être confronté. Un baptême trop arrosé se terminant sur un drame , des élus dont la responsabilité peut être engagée à tout instant, des amitiés se révélant douteuses, des conflits de voisinages qui s’enveniment. L’emprisonnement, bien qu’à l’abri des regards extérieurs, ne constitue pas un événement singulier.

Prisons indignes

La France, se targuant d’être le berceau des droits de l’homme, ne fait pas figure de bonne élève en matière de privation de libertés et de conditions de détention. Madame Dati concédant elle-même le 3 mars dernier que « les prisons françaises n’ont pas toujours été à l’honneur de la France ».

Ces questions demeurent à travers les décennies, sans pour autant appartenir au passé, puisque le bilan ne s’améliore guère.

Outre les conditions d’hygiène désastreuses, l’absence de droits réels de défense quant aux sanctions disciplinaires, les difficultés pour entretenir des relations familiales, et un processus de réintégration que les réalités de la gestion pénitentiaire rendent souvent illusoire, la question centrale demeure la surpopulation. Au 1er mars 2009, les prisons françaises comptaient 62700 détenus pour 52535 places. A la promiscuité imposée, il n’est donc pas surprenant que la violence survienne, contre soi ou les autres.

C’est mathématique: lorsqu’il n’y a que 1000 places au concert de la dernière starlette et que 1500 fans sont dans la salle, il faut s’attendre à subir les odeurs corporelles et coups de coude de ses voisins. Mais étrangement, en matière de manifestations publiques, lorsque le compte est bon, le respect des consignes de sécurité est rigoureux: les portes sont closes.

Toujours plus de suicides

La recrudescence des suicides intra muros constitue le meilleur indicateur de la situation de crise que connaissent le prisons françaises.

La France fait aussi office de mauvais élève européen en la matière. Elle s’est ainsi vue condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme le 16 octobre dernier, pour violation de l’obligation de protection de la vie de ses administrés et non respect de l’interdiction de traitements inhumains. Cet arrêt fait suite à la pendaison d’un détenu établi en cellule disciplinaire et dont le traitement médical n’avait pas fait l’objet d’un suivi adéquat.

Affichant un taux de suicide de 16 pour 10.000 détenus, elle partage les bancs du fond de la classe avec la Slovaquie, le Luxembourg, tandis que la Pologne et l’Espagne tentent de donner l’exemple avec des taux respectifs de 4,7 et 4,8 pour 10.000 sur 2006.

Ces résultats ne sauraient s’améliorer dans la mesure où 2006 tient lieu de « petite année » avec 95 suicides. L’année 2008 fut elle, le théâtre de 118 décès.

Avec 51 suicides dénombrés par l’Observatoire des suicides dans les prisons françaises, soit une augmentation de 31% par rapport à 2008 pour la même période, l’année 2009 semble augurer de beaux records.

Loin de n’être le fait que de grands criminels méphistophéliques, 60% des détenus passant à l’acte sont des prévenus.

Un constat désolant, tant pour ces derniers que pour les victimes. Acte de détresse ultime, ces chiffres dénotent l’écart entre la réalité pénitentiaire et nos concepts juridiques. Qu’en est-il de la préservation de la notion de présomption d’innocence, lorsque 60% des suicides sont le lot de prévenus. Si l’on se plaît à rappeler l’article 9 de la DDHC, lequel indique que « Tout homme est présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable (…) » soit à l’issue d’un procès public, qu’en reste-t-il lorsque les hommes préfèrent Thanatos à Themis. Qu’en est-il du soulagement des familles de voir proclamée par la société la culpabilité du suspect. Si « Le suicide est un bris de prison » (Victor Hugo), il est en tout cas la démonstration de l’échec de l’Etat, et de l’exécutif actuel, dans la réalisation de ses fonctions régaliennes.

La méforme du Projet de Loi pénitentiaire

Le projet de loi pénitentiaire adopté par le Sénat début mars, qui doit être examiné à l’Assemblée Nationale courant du mois de mai ne relève que du plâtre sur une jambe bois, si ce n’est à certains égards de la scie.

Il devait s’apparenter à une véritable révolution culturelle et juridique source d’évolution de la condition pénitentiaire afin de faire des détenus des sujets de droit évoluant dans un univers régi par un Etat de droit. Force est de constater que le projet soumis aux députés selon la procédure d’urgence fait un peu plus sombrer les prisons dans la nuit noire de l’arbitraire.

Il est certes des avancées à noter. Tel la consécration d’un droit à téléphoner, l’établissement d’une rémunération minimale fixée au smic horaire, la permanence des soins médicaux les soirs et week-ends. Mais comment se réjouir de certaines régressions bientôt entérinées par la majorité présidentielle.

Telles:

  • la restriction de la liberté de correspondance, par l’insertion d’un critère de rétention élargi
  • l’obligation d’activité de tout détenu
  • l’affirmation du principe de prison hors les murs
  • le pouvoir pour l’administration pénitentiaire de procéder aux fouilles des cavités internes, contrairement à la procédure actuelle de droit commun qui ne permettait de telles fouilles que dans le cadre d’une procédure judiciaire
  • l’instauration de régimes de détention différenciés établis après une période d’observation et l’organisation d’un bilan de santé et de personnalité. Régimes qui ne font l’objet d’aucune définition légale, mais établis sur des critères incertains laissés à l’appréciation de l’administration pénitentiaire. Les bilans de santé sont quant à eux, le premier doigt dans l’engrenage de la remise en cause du droit au secret médical des captifs. Si ce revirement n’est en rien inscrit légalement, la pratique des commissions de partage d’informations au sein des établissements pénitentiaires mènera à elle seule à son étiolement.

Pour le respect du principe de l’encellulement individuel

Avec une surpopulation carcérale de 126% en ce début d’année 2009, qu’il est loin le principe de l’encellulement individuel annoncé en 1875.

Par pragmatisme, des exceptions avaient été introduites.

En 2000, ces dernières furent supprimées, mais l’Etat bénéficia d’un délai de trois années pour s’y conformer: les réalités pratiques. Au terme de ces trois ans, un nouveau report fut concédé: cinq années supplémentaires. Lesquelles se sont achevées le 13 juin dernier. No comment.

Les Règles pénitentiaires européennes, le Conseil économique et social, la Commission nationale consultative des droits de l’homme réaffirment chacun le principe essentiel de l’encellulement individuel, préalable à toute affirmation du respect de la dignité des détenus. Ainsi le Comité européen de prévention de la torture prescrivait en 1991 un minimum de 7m² par détenu, et une circulaire française de 1988 11m² pour deux. Or la pratique démontre la cohabitation de deux, trois voire quatre détenus par cellule de 9m². Quant à l’encellulement individuel, le projet ne modifie rien a priori.

En effet, si lors de sa campagne, ainsi qu’en janvier 2007 en réponse aux Etat généraux des conditions pénitentiaires, Nicolas Sarkozy affirmait son attachement et sa détermination à faire réalité le principe de l’encellulement individuel, les faits sont inverses. Rachida Dati affirmait en effet lors de la présentation du projet de loi « le principe de l’encellulement individuel ne pourra être respecté en 2012 » car « les nouveaux établissements pénitentiaires comportent de manière systématique des cellules collectives ».

Le principe demeure, évanescent, mais après recul du gouvernement.

Lequel proposait dans la version initiale une option: encellulement individuel ou collectif.

Les lieutenants de la majorité faisant ainsi valoir que les Règles pénitentiaires européennes n’imposaient pas l’isolement et la volonté des détenus eux-mêmes de continuer des soirées pyjamas. Pour preuve, depuis l’instauration en 2008 de la procédure de demande de cellule individuelle pour les prévenus, seuls 40 demandes ont été formulées sur 17495 prévenus.

A la première affirmation, il faut opposer que les RPE admettent certes l’encellulement collectif mais de manière occasionnelle, dans l’intérêt du détenu. La règle 18-5, prônant l’isolement, étant la norme à suivre.

A la seconde, les Etats généraux de 2007 ont démontré que 84% des détenus avaient comme premier désir d’être en cellule individuelle. L’absence de demandes tient en réalité à deux facteurs: 1) demander l’isolement est quasiment synonyme d’éloignement de la famille, avocat…2) la procédure est une usine à gaz mettant en moyenne quatre mois pour aboutir. Or, 60% des prévenus sont condamnés après 4 mois et se trouvent dès lors exclus du dispositif. Autant d’aspects peu incitatifs.

Si les textes n’ont pas encore eu raison de l’encellulement individuel, la volonté de l’exécutif de nier, contrairement à ses annonces, toute dignité aux détenus ne saurait favoriser l’émergence d’une prison républicaine.

Le seul espoir de voir introduites les préconisations faites par la commission Canivet en l’an 2000 aux fins de réaliser cette révolution que serait la transformation de l’institution carcérale en un service public régi par l’Etat de droit et faisant du détenu un sujet de droit égal aux hommes non privés de leur liberté d’aller et venir tient entre les mains des députés. Si le Sénat a tenté de combler certaines béances du triste héritage laissé par une ministre en partance, charge à l’Assemblée Nationale de le refuser et de rappeler que l’égalité républicaine vaut aussi bien hors les murs qu’à l’intérieur. Sans illusion.

ML

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13 décembre 2007

« Ensemble, pour une ville qui nous ressemble »

marie-meeting.jpgLundi 17 décembre 2007, avait lieu la première réunion publique de la gauche bergeracoise, à la salle Jean Barthe. Avec Dominique ROUSSEAU, les représentants du Parti Socialiste, du Parti Communiste, du Parti Radical de Gauche, le Mouvement des Jeunes Socialistes prenait la parole par l’intermédiaire de son animatrice fédérale Marie LOUBIAT. L’objectif était d’officialiser notre soutien à cette démarche d’union et dans l’attente d’une négociation plus approfondie sur les conditions de notre participation à cette élection. A cette occasion, Marie devait déclarer :

Je suis  heureuse de participer, ce soir, à cette première réunion publique. Ces rencontres municipales constituent le premier échelon de la démocratie, celui qui touche au quotidien des bergeracois. C’est aussi avec beaucoup de plaisir que je représente le Mouvement des Jeunes Socialistes, car il est normal qu’à Bergerac, berceau le plus fécond, il y trouve et occupe sa place.

Notre volonté à tous est de faire de Bergerac, une ville qui nous ressemble. Il serait alors aisé de présenter un projet complaisant.  Aux 30% des plus de 60 ans, un club de bridge dynamique, un service gérontologie et des auxiliaires APA financées par le Conseil général. Aux 40 % de 30-60 ans, des pavillons tout équipés et des parkings chers à payer. Enfin, aux 30% de moins de 30 ans, un joli stade, des illuminations de Noël et une 29ème et dernière place sur la liste de Daniel Garrigue pour seule représentativité.

Le Bergerac que nous voulons, ce n’est pas donner à chacun son désir d’aujourd’hui. Le Bergerac que nous voulons appelle une gestion globale et dynamique. Globale, parce que Bergerac n’est pas seule. Dans le contexte actuel, nous devons penser à mutualiser les énergies communales : Penser Bergerac, Prigonrieux et Creysse, penser Bergerac et Périgueux, penser Département. L’exemple le plus révélateur reste l’aéroport. Un seul aéroport pour la Dordogne est suffisant. Bien que celui de Bergerac est plus viable techniquement, l’autre s’entête dans un réflexe communaliste.

En matière sportive, Bergerac est terre de rugby, il serait donc légitime que nous ayons l’apanage d’une belle équipe. encore faudrait-il que nous ne tombions pas sur un os. Encore faudrait-il que nous puissions offrir autre chose à nos joueurs comme carrière qu’une simple assimilation au personnel communal. C’est en cela que résidera le point central de cette élection : comment garder les jeunes à Bergerac en leur offrant des perspectives d’avenir. L’emploi doit être notre priorité. A moins de se résoudre à devenir une réserve d’indiens pour retraités en quête de tranquillité, nous devons permettre à chacun d’accéder à un emploi digne.

A l’heure où le pouvoir d’achat est dans toutes les têtes, où chacun joue de la calculette en poussant son charriot chez L… et bientôt chez C…, l’emploi est le pilier central dont découleront toutes les possibilités de repenser notre ville culturellement, urbanistiquement, sportivement et socialement. Les propositions culturelles sont une chose mais outre les notables, qui dans les tourments du quotidien peut ou du moins songe à se rendre à notre cher Centre Culturel.

Pour conclure, face à une politique présidentielle de casse des principes républicains, de casse sociale, notre nouveau maire ne sera pas Hercule. Mais, j’ai confiance en Dominique Rousseau et en l’équipe qui l’entourera chaque jour pour donner aux vraies aspirations des bergeracois des réponses de gauche.

Il est ainsi symptomatique que Daniel Garrigue préfère présenter une liste de potiches davantage que son projet car après 13 ans de réélection, c’est ce que notre maire actuel s’évertue à nous dissimuler. “

SUD OUEST, 19 décembre 2007 : “Les jeunes socialistes très en verve. Lundi, la jeune socialiste Marie Loubiat a expliqué qu’il fallait du changement pour que Bergerac ne devienne pas “une réserve d’indiens pour retraités”. Et elle a conclu avec cette pique : “Daniel Garrigue a préféré présenter une liste de potiches que son projet.”

L’écho de la Dordogne, 19 décembre 2007 :”Marie du Mouvement des Jeunes socialistes a apporté une bouffée d’oxygène à la réunion publique en insistant sur le fait que “l’emploi est le pilier central pour repenser notre ville“.

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28 novembre 2007

La méforme des Universités

Alors que la précarité étudiante n’a jamais été aussi forte, que 100 000 étudiants ont un revenu inférieur au seuil de pauvreté, le projet Pécresse suscite une colère étudiante non réductible à la seule question de l’autonomie des universités. Au lieu de réformer le système des bourses vers une vraie prise en charge de l’accès des jeunes à l’enseignement supérieur et de leur offrir une autre perspective que les petits boulots pour s’en sortir, Valérie Pécresse a décidé de bricoler un système à bout de souffle. Elle rajoute un échelon de bourses (16 euros de plus par mois seulement) et multiplie des bourses au mérite qui ne profitent souvent qu’aux élèves déjà les plus favorisés du point de vue social ou culturel. Comme si cela ne suffisait pas, le gouvernement va dépenser inutilement 10 millions d’euros pour des prêts à taux zéro alors qu’un tiers de prêts semblables proposés par le CROUS ne trouvent pas preneur. Les étudiants préfèrent se salarier plutôt que de s’endetter pour faire des études. Ces mesures sont injustes et ne s’attaquent pas à la précarisation croissante qui caractérise le milieu étudiant. Le MJS veut au contraire proposer une vraie alternative. Au cœur de notre projet, nous proposons une allocation d’autonomie, qui permettrait à chaque jeune, quelle que soit son origine géographique et sociale, de pouvoir étudier et construire son projet de vie de manière autonome.

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10 septembre 2007

Lancement du 8ème Congrés des Jeunes Socialistes

Le 8ème congrès du MJS se déroulera du 13 septembre au 19 décembre 2007.

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Il sera l’occasion d’adopter un nouveau texte d’orientation. Alors que la famille socialiste rentre dans une période de refondation, ce texte doit porter l’ambition de changement de notre génération politique et affirmer une parole forte.

Pour que ce message soit fort, il est important que les militants puissent faire entendre leur voix et se l’approprier. C’est pourquoi texte proposé par le bureau national peut être amendé par les fédérations de manière participative.

Pour consulter le texte d’orientation:
http://www.mjsfrance.org/article.php3?id_article=974

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5 septembre 2007

Les jeunes socialistes de la Dordogne à La Rochelle.

Comme depuis de nombreuses années, la Fédération des Jeunes Socialistes de la Dordogne a envoyé une délégation à l’université d’été des socialistes, les 31 août, 1er et 2 septembre dernier. Malgré le tapage médiatique sur l’absence des éléphants ou sur l’omniprésence des éléphantaux, le rendez-vous était d’importance.

Après l’échec des présidentielles et les victoires des législatives en Dordogne, il était nécessaire de se mettre en ordre de marche pour les élections municipales à venir en 2008. D’ores et déjà, les jeunes socialistes sont associés à la préparation de la campagne à Périgueux et à Bergerac, deux enjeux d’importance pour la gauche dans le département.

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François Hollande devait conclure ces journées de la Rochelle, en annonçant un changement des pratiques politiques, et le lancement de grands débats d’orientation. Gageons que chacun y trouve sa place. Dans tous les cas, la rentrée politique a déjà sonné.

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8 juin 2007

Bonjour tout le monde !

Voici la dernière version du site du MJS 24.

Vous retrouverez toujours nos différents communiqués ainsi que nos dossiers comme celui de la Turquie.

Mais nouveauté, maintenant, vous avez la possibilité de vous abonner au Blog via les flux RSS (cliquez en bas à gauche dans la rubrique Méta 

A bientôt

MJS24

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